Article de Presse




IL RESTO DEL CARLINO 20 01 2011

Fillettes belges : 
la mère en salle de tribunal.
Nouveau supplice pour Maria Pia Maoloni : "désormais, je n'ai d'espoir qu'en la justice italienne"
di Grazia Mandrelli

"Désormais, je n'ai d'espoir qu'en la justice italienne pour accepter la vérité des terribles faits dans lesquels mes filles ont été impliquées."Ainsi s'est exprimée la maman à la fin d'une des dernières audiences du procès qui se déroule au tribunal de Fermo, à charge du grand père accusé d'abus sexuels à leur encontre de ses deux petites filles Belges et de pédopornographie.  La mère a également assisté hier, non sans souffrance, à la présentation de trois témoignages, tous provenant de la Belgique, qui ont essentiellement  confirmé le drame vécu par les fillettes et leur mère, et qui jamais n'avaient été écoutés en Belgique.  Face au président du collège Ugo Vitali Rosati et à la procureur de la République Me Sacco, Maria Pia, avec à ses côtés l'avocat Mascialli du bureau de Carlo Taormina a une fois de plus écouté le récit du malheur et de la tragédie que ses filles auraient vécu.  Le procès se dirige toutefois vers sa conclusion.  Le 23 mars prochain seront écoutés les derniers récits, tous provenants de l'accusation, ensuite viendront les conclusions et le verdict.  L'accusé, défendu par l'avocat Micucci de Ancona, ne s'est jamais présenté en salle de tribunal et n'a pas réclamé de témoignage en sa faveur.Plus de trois ans sont passés depuis que les deux soeurs, amenées en Italie par la mère pour les soustraire à leur père et au grand-père, ont été rapatriées en Belgique, pays où la maman ne peut se rendre, car encore accusée d'enlèvement de mineurs.  Depuis, mis à part quelques lettres du début 2007, elle a perdu leur trace, nous raconte Maria Pia, la voix en pleurs, à la sortie de l'audience.  Dans la voix de Maria Pia, une douleur indécible, difficile à raconter. 


courriere de l'Adriatico11.10.2010
présulé abus sexuelle sur ses deux petites filles,hier le témoignage d'une infirmière Belge:
Première confirmation des soupçons de la mère


Nouvelle audience , hier, au tribunal de Fermo pour le procès intenté par Maria-Pia Maoloni contre son beau-père et son mari.
L' assemblé présidée par le juge Ugo Vitali Rosati a écouté deux témoins considérés comme très importants. Il est question d'une infirmière belge, collègue de Mara-Pia Maoloni, et d'une coordinatrice d'un centre de premièr accueil qui entre 2006 et 2007 a accueilli Fiona et Milla, les deux filles de Maria-Pia Maoloni et dont la garde est disputée par le père, auquel elles ont été confiées.
Les deux témoins ont répondu à toutes les questions posées par le Ministère public Maria carla Sacco, et par l'avocat Carlo Taormina, qui comme on le sait défend Maria-Pia Maoloni, par l'avocat Mingussi d'Ancona, avocat du père et du grand-père des deux enfants.
Comme vous vous en rappelez, Maria-pia Maoloni, est accusée d'avoir enlevé ses deux filles, et est condamnée par les autorités Belges. La femme pourtant,avait lancé une accusation terrible contre son beau—père et son mari, parlant d'abus sexuels sur ses deux enfants.s
Le témoignage des deux femme pourrait s'avérer fondamental pour résoudre un cas de pédopornographie qui,  il y a deux ans,  provoqua un incident diplomatique avec la Belgique.
L'infirmière belge qu,i pendant deux ans à été suffisamment proche des deux enfants pour recueillir certaines confidences, a parlé de dessins que Fiona lui montrait et de certains de ses discours qui remettraient en question le père et le grand-père des deux filles pour des présumés actes sexuels sur au moins l'une des deux petites.
«  Ce qui est ressorti aujourd'hui de l'audience nous conforte dans nos soupçons et nous donne espoir», a dit Karin Maoloni, la soeur de Maria-Pia Maoloni.


Messaggero 10/10/10


Fillettes à la garde disputée:
Le grand-père accusé de pédopornographie. Aujourd'hui le témoignage de l'institutrice.

Défilé des témoins dans le procès qui accuse Roberto Antonini de suspiscion d' abus sexuels sur ses petites filles et de pédopornographie. Les événements inquiétants ont commencé en 2004 à Mons, en Belgique, quand Maria Pia Maoloni, mère des petites filles ,accuse son ex-mari et le père de celui-ci de maltraitance sur les enfants. Et aujourd'hui, à 15h30 au tribunal de Fermo (Italie), se déroule encore une nouvelle audience de la procédure pénale. Sont attendus à la cour, la défense des accusés, l ' avocat Vittorio Micucci, Mme Maoloni defendue par l' avocat Carlo Taormina . En tant que témoins; l'enseignante de l' ainée des filles, la responsable de la maison d'accueil protégée qui a accueilli F. et M. de octobre 2006 à mai 2007, et quelques témoins belges. Malgré le fait que le grand-père ait été acquitté pour les même infractions (en Belgique), les tribunaux italiens, quant à eux, ont jugé d'ouvrir un procès. Même pour le père des enfants, une enquête a été autorisée mais renvoyée aux actes puisque Clemente Mastella n'a pas signé la rogatoire internationale. Le père des filles se défend en prétendant que son ex-femme souffre de maladie mentale et que les accusations sont le résultat de son instabilité mentale. "Pourquoi les juges de Belgique m'interdisent de voir mes filles ?" C'est la question que la maman continue à poser aux autorités et à l'opinion publique.
« Mes enfants», insiste la maman,"ont été rapatriées en Belgique en mai 2007 et confiées au père. Depuis ce jour, je n'ai plus de nouvelles de mes petites. Les autorités montoises me refusent tout contact entre elles et moi, même par téléphone !"






Messaggero 15/04/10

Procès pour pédophilie:
Fillettes à la garde disputée:
Les témoins à charge ont été entendus.


Hier après-midi s'est déroulée lors d'un long débat la seconde audience du procès relatif à l'histoire des deux fillettes belges d'origine italienne dont les parents se disputent la garde, la mère accusant le père et le beau-père d'actes pédophiles à leurs égards. Hier, le collège pénal du Tribunal de Fermo, composé des juges Ugo Vitali Rosati (président), Cesare Marziali et Carla Moriconi a entendu, entre autres, les témoins à charge soutenus par le procureur de la république Maria Carla Sacco.  
La thèse soutenue par ce même procureur a été confirmée.  Abus sur mineurs et pédopornographie, c'est de cela que sont accusés Roberto et Rocco Antonini défendus par l'avocat Vittorio Micucci.  Aucun des deux n'étaient présents hier au procès de Fermo.  C'est Maria Pia Maoloni, la maman des deux filles, représentée par l'avocate Valeria Mascioli du bureau de Carlo Taormina, qui en 2006 a révélé les faits pour lesquels les deux hommes sont en justice.  L'histoire a commencé en Belgique où la famille s'était transférée.  La mère, convaincue que le mari et le beau père avaient impliqué les deux fillettes dans un réseau de pédophilie, était retournée en Italie en emmenant ses filles.  
Or, après diverses péripéties, les fillettes furent reconfiées au père en Belgique, la justice belge n'ayant pas intenté d'action à l'encontre du père.  Ce qu'a fait au contraire le parquet de Fermo en les renvoyant en justice.  La première audience avait été marquée par les récits de la mère, hier présente au tribunal, qui expliqua minutieusement les détails des révélations de ses fillettes à propos des évènements qu'elle mis en évidence.  A l'époque, les faits avaient provoqué un fort mouvement de l'opinion publique en faveur de la mère et de ses filles.  Hier, il semblait qu'on se dirigeait vers le jugement.  Or il faudra encore attendre pour voir comment va évoluer la position des deux accusés.





courriere de l'Adriatico 15.04.2010
Le psychothérapeute entendu par le juge:
Témoignage choc pour les deux petites filles belges


Hier s'est déroulé devant le tribunal pénal de Fermo (Italie), le procès de l'inculpé Roberto Antonini, 63 ans, le grand père des filles belges écartées de la mère. A participé à l'audience, la maman des enfants, Maria-Pia Maoloni. 
 Le juge a écouté le témoignage d'Augusto Murillo, le psychothérapeute belge qui a rencontré et parlé avec la plus grande des filles, Fiona, en 2005
et qui a recueilli les premieres confidences des enfants. « J'ai connu Fiona en juillet 2005 » a t-il dit « elle était a peine sorti d'un institut ou elle était restée 6 mois, éloignée de sa famille pour les maltraitances subies par le père et le grand-père. Au départ, l'enfant était sur la défensive (méfiante), ceci dans les premières rencontres ( il y aura 28 rencontres au total ). J'ai cherché à conquérir sa confiance. Quand elle parlait de son père, elle disait qu'il lui faisait beaucoup de cadeaux et qu'elle en était contente. Mais aussi, il lui faisait faire des choses qu'elles n'aimait pas. Au troisième entretien, Fiona commença à parler de sa relation ambiguë avec son père et son grand-père » Le psychothérapeute a aussi raconté que Fiona a parlé de château dans lequel elle était amenée et ou' se trouvaient d'autres enfants avec des personnes adultes. Le témoignage éprouvant s'est prolongé toute l'après-midi. A été aussi entendue, Karin Maoloni, la sœur de Maria-Pia, l'audience fut
ensuite ajournée. 



Fiona et Milla: presse italienneVoici une exemple de coupure de presse Italienne. L'article n'est pas récent mais montre bien le nœud judiciaire dans cette affaire. Je Précise que cela fait maintenant 3ans que la maman et ses filles n'ont plus de contact entre elles.

La chronique des deux petites sœurs disparues depuis 14 mois

Cela se dénoue entre la Belgique et l'Italie, la dernière affaire terrifiante qui traite d'abus sur mineurs, une histoire qui a vu des revers inédits en politique et qui, sur son chemin, s'est embrouillée en grotesques noeuds judiciaires. Les victimes sont deux enfants, de neuf et cinq ans, filles de parents italo-belges. Comme présumés bourreaux, il y a le papa et le grand-père. Ensuite il y a la maman qui elle fuit en Italie avec les enfants, elle sera arrêtée ici avec un mandat d' arrêt international.
Enfin se mêle la politique, en la personne de l'ex ministre de la justice Clemente Mastella, destinataire de vérifications du tribunal des ministres, pour ne pas avoir bloqué le rapatriement des deux enfants. Depuis plus de 400 jours, c'est-à-dire depuis que l'autorité judiciaire italienne a ordonné leur rapatriement, on ne sait plus rien des petites Fiona et Milla :
« Le père les a toutes les deux, celui-ci est pourtant encore sous enquête - clame la mère au Journal - et les autorités belges font mur et sont de connivence malgré les récits des enfants et les rapports démontrant ce drame ».


C'est en janvier 2004, lorsque l'ainée commence à raconter à la maman les attitudes morbides de la part du père et du grand-père. Ce cas se trouva en concordance avec les paroles d'un témoin important. La mère dénonça le mari, qui contre dénonça sa femme pour calomnie. En Mars 2004, face au juge du tribunal des mineurs de Mons, l'enfant parle :
« Ce que m'ont fait mon papy et mon papa ne sont pas des rêves, tout est vrai ».


Mais pour la psychologue du tribunal et pour le médecin légiste, ce ne sont pas des preuves suffisantes. L'accusation et la défense s'opposeront même au sujet du disque dur de l'ordinateur : selon les juges il contient « seulement » une photo d'une enfant nue dans une piscine, mais pour le pool d'experts en informatique nommé par l'avocat Carlo Taormina, défenseur de la maman, il y a beaucoup plus, à commencer par un film avec des mineurs qui regardent des images pour adultes. Nous voilà ainsi en octobre 2006.Les juges de Mons se prononcent donc en faveur du père, laissant entrevoir des signes de déséquilibre chez la femme, qui pourtant peu après sera jugée absolument « en pleine possession de ses moyens » à la suite d'une importante expertise. Entretemps la femme prend les enfants et fuit en Italie où elle sera arrêtée à la suite d'un mandat d'arrêt international.

Alors que la maman est en prison, les filles seront placées en institution. Dorénavant tout peut arriver. En novembre 2006 le juge des mineurs d'Ancone (Italie) ordonne le rapatriement des enfants mais la Cour d'Appel d'Ancone révoque durement cette mesure. Sept mois vont s'écouler.
Et le papa, qui avait obtenu la garde et l'autorité parentale des enfants, profitant du « placement » des enfants, obtint un jugement du tribunal de Mons qui lui confia les enfants, malgré, selon l'avocat Taormina, les déclarations de la gamine à son institutrice, à des médecins, psychologues, ignorant les certificats médicaux, les rapports techniques et graphologiques et les témoignages qui viennent renforcer le dossier ouvert au tribunal de Fermo.
Un parmi d' autres, le témoignage de Myriam L., prostituée, déjà victime de pédophiles, qui d'abord reconnaît en photo Fiona, et ensuite qui affirme aux policiers l'avoir vue plus d'une fois subir des violences dans le château de (...) de la part d'un groupe de pédophiles :
« Adultes et mineurs se rencontraient dans des endroits que je fréquentais. Tout était filmé et revendu à un groupe de personnes ».

Malgré cela les confrontations se multiplient , le 17 mai 2007 le tribunal des mineurs d'Ancone (sans tenir compte de la décision de la cour d'Appel) exécute la sentence des autorités belges qui ordonna le rapatriement des enfants, et cela malgré le dossier pénal ouvert en Belgique et en Italie, contre le père et le grand-père. La maman, désespérée, fait un recourt en Cassation. Le 8 avril cette dernière lui donna totalement raison, en annulant le rapatriement(sans recours possible). Mais il est trop tard,il n'y a plus trace des enfants.
Dans un dossier préparé par la défense, comme dans l'enquête du tribunal de Fermo toujours en cours, on peut trouver la position du papa « assainie » « par manque de poursuite des procédures ».Cela serait dû à une présumée inertie de l'ex ministre de la justice à qui le procureur avait demandé l'avis, afin de poursuivre un citoyen belge accusé d'avoir commis les délits non pas en Italie, mais dans son propre Pays.
Rien n'étant survenu dans les trois mois prévus, le rapatriement fut appliqué. L'affaire fût embrouillée par une rencontre entre Mastella et le ministre de la Justice belge, qui aurait plaidé pour la cause du papa. Ensuite plus rien. Les autorités belges ne donnent pas d'informations à la mère, l'adresse du papa a changé.L'unique nouveauté est quelques dessins des enfants envoyés à la mère sous enveloppe fermée et soumis à expertise. Conclusions bouleversantes : « un sérieux dérangement de la personnalité dû aux réitérantes et incessantes violences sexuelles subies ».




OUVERTURE DU PROCES POUR LE GRAND-PERE BELGE ACCUSE’ DE PEDOPHILIE
PAR FRANCO CAMELLI
IL MESSAGGERO – 24/09/2009

Au Tribunal de Fermo, s’est déroulée, hier, la première audience contre le grand-père des enfants belges, renvoyé en jugement pour suspicion d’abus sexuels sur l' aînée et pédopornographie.L'homme domicilié enBelgique, ne s'est pas présenté, mais il a été défendu par l'avocat Micucci d'Ancone. Devant le Président de la Cour, Monsieur Vitali Rosati et devant le Ministère public, Madame Sacco, la mère des enfants, Madame Maria-Pia Maoloni, a été appelée à témoigner, celle-ci étant défendue par l'avocat Carlo Taormina.
« Nous avons présenté -explique l'avocat Taormina- toute la documentation recueillie contre le grand-père des enfants. Nous avons également déposé un ordinateur qui appartenait à Madame Maoloni et à son ex-mari. Il en résulterait que ce dernier transmettait du matériel compromettant à son père.Les fichiers étaient effacés, mais notre expert désigné a réussi à remonter aux mouvements avant leur effacement. Nous avons en outre présenté les examens gynécologiques réalisés sur l'enfant à l'époque des faits ».
Madame Arianna Di Biaggio était présente au procès , Présidente de l'Association des Parents de Rignano Flaminia (AGERIF). Madame Maoloni a raconté son histoire et celle de ses filles à partir de 2004, lorsqu’ elle pressentait que quelque chose n'allait pas. Ensuite, elle entama la bataille contre l'ex-mari et le père de ce dernier, qui en Belgique ont été disculpés des accusations. L'audience, initiée à 9h30 s'est maintenue jusqu'à 17 heures. Madame Maoloni a répondu au défilement des questions du Procureur, de l'avv. Micucci et de l’avv. Taormina. La maman voudrait obtenir des contacts avec ses filles,rapatriées le 19 mai 2007 et confiées au père en Belgique. « Cela fait 983 jours que je n'ai pas de nouvelles d'elles ! »,déplore Madame Maoloni. La seconde audience est fixée au 9 décembre à 15H30.
(…)



article sur fiona et milla
Il Messaggero 20/12/2008

Fillettes à la garde disputée:
Le grand-père sera poursuivi pour violence sexuel et pedopornographie





Le procureur de FERMO, Piero Baschieri, a renvoyé à jugement Roberto Antonini, le grand père paternel des enfants belges, pour présomption de violences sexuelles sur sa petite-fille ainée, et pour pédopornographie. Le 15 décembre la Cour d'assises belge de Mons avait acquitté l'homme des accusations formulées par sa belle fille, Marie Pia Maoloni, mais hier le Procureur de FERMO s'est exprimé de manière opposée, avec le renvoi en justice. L'homme sera donc poursuivi en justice en Italie le 8 Juillet 2009. Le cas secoua les consciences, quand Maria Pia Maoloni fuit la Belgique en direction de Castignano (Italie), en prenant avec elle les petites. C’était en Octobre 2006, F. Avait 7 ans, M. 3ans. La femme fut arrêtée et les petites mises dans une institution pour mineurs. Après une déchirante bataille judiciaire, les enfants furent confiées au père et rapatriés en Mai 2007.

« Cela fait 700 jours - pleure Marie Pia Maoloni - que je ne vois pas mes filles, et je ne peux pas leur parler au téléphone. Les juges belges nient tout contact avec la maman. Peut-être craignent- ils qu'au téléphone les petites puissent dire la vérité? Mais maintenant on retrouve une lueur d'espoir, même si je suis consciente que la route est longue et semée de difficultés. »

M.Maoloni a été accompagnée devant le procureur de Fermo par son avocat de confiance, le prof. Carlo Taormina. L'avocat était lui aussi dans l’attente de connaître lissue d’une ultérieure plainte à l’encontre du grand-père et du père des enfants, Rocco Antonini, pour violences présumées sur l’aînée.
« Le magistrat de FERMO-Explique le prof. Taormina - a nouvellement inscrit dans le registre d'enquêtes le père et le grand père, sur base d'une plainte que j'ai déposée suite à la réception de dessins faits par F. suite à son retour chez son père. Dessins qui démontreraient que la petite est actuellement en danger ».
Rappelons que Rocco Antonini ne peut pas être jugé en Italie, car les temps limites pour les investigations internationales sont expirés. En 2007, le ministre de la justice Mastella nia la demande de madame Maoloni de poursuivre les investigations contre le père. « Le comportement de Mastella - critique le prof. Taormina - a été inexplicable. S'il avait demandé l'autorisation d’investiguer sur Rocco Antonini, nous aurions eu la possibilité de faire la lumière sur cette dramatique affaire.
Le Tribunal de FERMO sollicitera l'actuel ministre de la justice, Alfano, pour qu'il s'emploie dans la demande de poursuivre l’enquête contre le père de la petite en Italie.Le pénaliste romano remercie Piero Baschieri : « Le Procureur de Fermo a été grandiose. Je sais qu'il part à la retraite le 31 décembre: il ne pouvait pas honorer de meilleure façon sa longue carrière. En ce qui concerne les enfants belges, il a accompli son devoir de manière très clair et passionné. »