samedi 26 mars 2011

Traduction revue Hebdomadaire Visto par Luigi Nocenti : 04/02/2011

Cauchemars-Une mère se bat pour ses filles confiées au père suspecté, comme le grand-père, de pédophilie.
J'arracherai mes deux filles des mains de ces ogres.

 "Depuis mai 2007, d'elles je n'ai plus aucune nouvelles.  Les certificats médicaux confirment les violences sexuelles subies, mais le tribunal les a laissées à ceux qui leur font subir ces abus", se désespère Maria Pia Maoloni, ex épouse de Rocco Antonini qui, par la loi de son pays, a eu la garde des petites Fiona et Milla, alors que le père de celui-ci, Roberto, citoyen italien, est actuellement en procès pour viol sur mineurs."Aidez-moi à les libérer".
"Maman, je n'arrive pas à dormir; j'ai des secrets dans mon ventre qui me parlent de papa".  Ces paroles, depuis 7 ans, résonent dans la tête de Maria Pia Maoloni, 43 ans, originaire de Mons, en Belgique, et habitante de la province d'Ascoli Piceno depuis quatre ans.  C'est le 24 janvier 2004 que l'aînée Fiona, presque cinq ans à l'époque, prononça la phrase qui fut le début d'une série de révélations troublantes.  Maintenant cela fait quatre ans que Maria Pia ne voit plus ses filles:  Fiona, aujourd'hui âgée de douze ans mais aussi Milla âgée de 8 ans.  D'elles, elle n'a plus aucune nouvelle: tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle a tout essayé pour les sauver de la pédophilie, mais aujourd'hui elle doit vivre avec la douleur de na pas avoir pu les soustraire à leurs bourreaux. Maria Pia, fille de parents italiens, est née et a toujours vécu à Mons où, après un diplôme en psychopédagogie, elle devient chercheuse et professeur à l'université.  En juillet 98 elle épouse Rocco Antonini avec qui elle a deux filles, un enseignant pour enfants handicapés, belge mais de père italien.  C'est cet homme et son père, Roberto Antonini qui seront les obscurs acteurs de cette histoire.

Sous la photo:
Des monstres en famille.
Mons(Belgique).  En haut, le mariage en 1998 de Maria Pia Maoloni, aujourd'hui 43 ans, et Rocco Antonini, aujourd'hui 40.  Au dessus, Antonini et sa fille Fiona en 2011.  A droite, l'homme et son père Roberto, aujourd'hui âgé de 63 ans.  En haut à droite, un rapport médical qui atteste que Fiona : "a un grave trouble de la personnalité du à des violences sexuelles subies de façon réitérée et incessante." 

Jusqu'en 2003 Maria-Pia remarque d'étrange comportement de Fiona: La fillette se déshabillait en publique, crachais sur les personnes, et était tourmentée par des cauchemar nocturne. Mais maria- Pia n'est pas arrivé au bout du tunnel, qui commence avec une effroyable révélation, «  ma fille me raconte que son grand-père paternel, lorsque ils étaient ensemble, abaissait son pantalon et faisait pipi devant elle, mais que ça ressemblait plutôt à de la bave, me racontait-elle avec ses mots d'enfant. » La situation dégénéré lorsque Fiona, le soir suivant, elle lui dit que son papa ( rocco) lui fait faire le bain avec lui, et qu'il lui demande de le toucher et elle fournit des détails sexuels qu'une enfant aussi petite ne peux connaître. «  Ce soir là, lorsque j'ai compris que mon mari était aussi impliqué, mon cœur s'est brisé »

sanglote Maria-Pia. Entre temps, les révélations de Fiona se faisaient de plus en plus inquiétantes et Maria-Pia est de plus en plus bouleversée: «  La petite racontait d'avoir était conduite dans des châteaux et des villa ou ils y avait d'autres enfants , garçon et fille, qu'ils étaient déshabillés,et parle d'adulte qui abusaient d'eux »
Maria-Pia doit s'arrêter: un nœud a la gorge l'empêche d'aller plus loin, un pleure retenu raconte silencieusement toute sa douleurs.«  des plaintes furent portées immédiatement , mais mes enfants, aux lieu de m'être confié, furent placée 6 mois en institution, ce qui est une chose horrible : la plus jeune n'avait que 18 mois, elle se laissait mourir de faim et avait perdue ses cheveux. J'ai lancé un appelle , et j'ai obtenu la garde de mes filles, mais il fut décidé que le père pouvait les voir en fin de semaine et pour toutes les vacances scolaires. Je chercha a mis opposé de toute mes forces , mais en vain. J'espèrerais que mon mari désormais dans l'œil du cyclone, teindrait un comportement intègre mais ce ne fut comme ça.

En juin 2006 je découvre que même Milla était en train de subir des abus sexuelles, suivit de fortes douleurs anal et vaginal que Fiona rapporta après une journée avec le papa, les enfants furent amené a l'hôpital ou il faut rédigé un rapport médical. Malgré cela, le tribunal Belge dit que, étant psychopédagoge, j'aurai conditionné mes filles pour discréditer le papa a leurs yeux. Toutes ses abominations, j'ai pu démentir a travers des expertises, y compris une de Giorgio Gagliardi, notre psychiatre » Suit un e succession d'événements paradoxale pour lesquels les enfants se revoit enfermé de nouveau dans une institution Belge  en Juillet 2006.

En octobre de la même années maria-Pia Part avec les petites pour l'Italie, ou elle a des parent, pour éloigner de la Belgique, ou , malgré tout, père et grand-père peuvent continuer a les voir, Quatre jours après , Maria-Pia est arrêtée. «  Je fus accusé de soustraction de mineur avec un mandat européen émit par le tribunal Belge, et retenue en prison pendant quatre jours. Le 19 mai 2007, les enfants sont rapatrié en Belgique: Le père entre temps avait réussi a obtenir la garde et l'hébergement principale, dans le laps de temps que j'étaie absente a l'audience et que je ne pouvais pas me défendre. Depuis, je n'ai pratiquement plus de nouvelles d'elles. Il est évident que les Antonini en Belgique ont des puissantes protections. »

Cette hypothèse est renforcé par un fait éclatant:
Le tribunal de Mons a reçut le témoignage écris d'une femme qui a reconnu Fiona dans un château, ou des pratiques douteuses ont eu lieux, accompagné par deux homme identifié comme le père et le grand père. E la encore la justice Belge n'ont jamais convoqué » et écouté le témoignage. «  Il s'agit d'une grave lacune dans la procédure,
"Il s'agit d'une grande lacune dans la procédure, puisque cette femme est un élément clé qui enverrait le père de filles en prison", explique Carlo Taormina l'avocat de Mme Maoloni.  "Pour le moment, l'unique procédure pénale possible en cours est celle, en Italie, contre le grand-père pour viols sur mineurs, prostitution de mineurs, détention de matériel pédopornographique et diffamation contre mon assistée, car Roberto Antonini a gardé la nationalité italienne.  Par contre, en ce qui concerne Rocco Antonini, on ne peut procéder car il est de nationalité belge.  Aujourd'hui le problème serait résolu si l'autorité judiciaire belge avait reconnu et appliqué l'arrêt de la Cour de Cassation italienne qui a déclaré illégitime la décision scandaleuse du Tribunal des Mineurs de Ancona de rendre les filles au père."

Aujourd'hui, Maria Pia n'a plus le choix : "Je ne peux plus retourner en Belgique parce que je serais immédiatement arrêtée sous l'accusation d'enlèvement de mineurs", elle explique.  "Donc je vis ici, disons que je survis.  Je me sens impuissante, ils m'ont enlevé mes liens affectifs, mon identité professionnelle, ils m'ont tuée sans se salir les mains de sang.
Je tiens un blog : http://fionaetmilla.blogspot.com/, dans l'espoir que les fillettes parviennent à prendre contact avec moi à travers celui-ci.  Je lance un appel à l'aide au gouvernement italien : ils m'ont volé mes filles, aidez-moi à les libérer des ogres.", sanglote-t-elle.  Ma dernière pensée est toujours pour elles : "Je veux que Fiona et Milla sachent que je ne les ai jamais abandonnées et jamais je ne les abandonnerai, et tant que je serai en vie, je me battrai pour elles.  Et comme me disait Fiona quand elle était petite, je leur dis que je les aime à l'infini".

de Luigi Nocenti , Février 2011.




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